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paul guillaud

  • 100 ANS APRES SA PREMIERE PARTICIPATION, L’UNC VANVES SERA PRESENTE AU RAVIVAGE DE LA FLAMME SACREE SOUS L’ARC DE TRIOMPHE

    Ce soir,  à 18H30, la Section centenaire de l’UNC de Vanves/Malakoff participe, au ravivage de la Flamme Sacrée  exactement 100 ans après la première participation des anciens combattants vanvéens qui avait été accompagné par F.Pic, le maire de l’époque. Il avait tenu à accompagner ses anciens combattants pour cette « pieuse et simple manifestation » qui permet « d’évoquer le souvenir constant que nous devons garder de ceux qui donnèrent sans compter leur sang pour la France » selon ses propres mots

    Ainsi depuis le 11 Novembre 1923, date à laquelle André Maginot, ministre de la guerre alluma pour la première fois la Flamme sous l’arc de triomphe, chaque soir au cours d’une cérémonie simple et émouvante, une association d’anciens combattants vient refaire le geste symbolique, volonté de mémoire en hommage aux soldats morts pour la France. Et elle s’est toujours déroulée sans interruption, même pendant l’occupation entre 1940 et 1944 :  Une union d’associations – « La Flamme sous l’Arc de Triomphe » - créée dès 1923, regroupe plus de 700 associations et un Comité de la Flamme. Il comprend une cinquantaine de commissaires en service considérés comme les « sentinelles de l’Invisible » et sont des « serviteurs anonymes », tous bénévoles, ainsi que des commissaires honoraires.  Parmi eux des généraux de l’armée française.

    Ils veillent chaque jour sur l’organisation des cérémonies et accueillent les délégations françaises et étrangères. « Nous sommes des facilitateurs. Nous devons faire en sorte que, dans le respect du cérémonial et du protocole, les autorités et les présidents d’associations, ainsi que l’ensemble des personnes qui participent, se sentent cornaqués gentiment dans une communion de respect et de recueillement, mais avec le solennité nécessaire » explique Paul Guillaud (sur la gauche de  la photo avec des jeunes collégiens de St Exupery à la veille du 11 Novembre sous l’Arc ce Triomphe), Président de l’UNC Vanves et commissaire à la Flamme (à la retraite)  depuis 2005 en faisant remarquer que jusqu’à encore récemment « les postes de commissaires, étaient encore pratiquement réservés aux anciens combattants ou anciens militaires » et désormais ouverts à tous les citoyens volontaires, après une période de formation en tant qu’aspirant.

    « J’ai souhaité intégrer ce groupe, car il est nécessaire que les actes de mémoire perdurent. Le tombeau du Soldat Inconnu, est un lieu privilégié, rassemblant sous la voute, le souvenir des sacrifices de tous nos morts depuis le premier conflit mondial, jusqu’à nos morts pour la France ou en service en OPEX, et désormais malheureusement en OPINT sur le territoire national ». D’ailleurs cette Flamme du Soldat Inconnu est désormais la « Flamme de la Nation » à l’initiative du général Combette, ancien président de la Flamme (de 1999 à 2009) qui la voulait moderne et tournée vers l’avenir et la Jeunesse, cette modification ayant été officialisée dans les nouveaux statuts de la « Flamme de la Nation ».  « Elle représente tous les morts pour la France. Car les Morts pour la France ne sont pas des morts comme les autres. Leur mort concerne bien entendu leur famille charnelle à laquelle ils ont fait si cruellement défaut. Mais au-delà de cette cellule humaine, elle concerne la communauté nationale toute entière et si leur souvenir ne restait pas vivant, alors ils seraient vraiment morts ! »

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    RENTREE ET VŒU POUR EXPOGRAPH VANVES

    « Si après 5 longues semaines d’inactivité ,l ’AS Expograph termine la phase des matchs allers sur une défaite 3/0 et encore à l’extérieur !!!  sévère à la vue de l’occupation du terrain et des décisions très contraires de l’arbitre » selon la direction  du Club qui, avec tous les joueurs «vous présentent chers partenaires, leurs meilleurs vœux pour 2024 ». « Nous espérons que vous serez encore à nos côtés pour nous permettre de faire aboutir notre projet et nos convictions. Dès la semaine prochaine nous espérons que la Remontada, comme l’an passé va nous permettre de terminer la saison  à la vitesse grand V » selon Jean Royer co-président d’Expograph.

    TENNIS DE VANVES

    Fort de son succès, la Ville de Vanves qui prolonge son partenariat avec l'application Anybuddy,  indiquait ces jours-ci le site de la mairie de Vanves en expliquant que « sa volonté est de «favoriser la pratique du tennis pour le plus grand nombre et faciliter l'accès de cette activité sportive», en donnant la possibilité aux Vanvéens « de réserver des courts de tennis (intérieurs et extérieurs) via une application !». Ce qui a suscité ce commentaire, surement d’un stadiste : « Ou comment mettre à mal le tissu associatif dans une ville, pénaliser un club dynamique et qui contribue à la survie d’autres disciplines plus confidentielles au sein du Stade de Vanves  et faire gagner de l’argent à des financiers plutôt que privilégier une solution gratuite offrant les mêmes possibilités au sein de la FFT ! Bravo ! »  

    COUP DE GUEULE DES VIEUX

    «Il paraîtrait que nous les « anciens » avons détruit la planète ! Nous nous devons de remettre les pendules à l'heure avec quelques grossièretés et beaucoup de vérités » colérait Paul Guillaud, un bénévole vanvéen associatif très actif sur son site Facebook. « A l'époque, j'allais chercher le lait à la laiterie du village avec un bidon à lait en fer blanc, je l'ai utilisé plus de 15 ans sans en changer. Le lait était un lait naturel non traité qui sortait directement du pis de la vache, il n'y avait pas de brique d'aucune sorte... On lavait les couches des bébés. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde. On avait un réveil qu'on remontait le soir. Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas. On ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant que l'on pouvait en produire. Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique. On n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou auto-portées. On travaillait physiquement. on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité » rappelait-il. «On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif. On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter. Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24.Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille- crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient. Pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan ! On n'avait qu'une prise de courant par pièce et pas de bandes multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui. On se contentait, en étant tous dans la pièce commune, de faire des jeux, d'écouter des histoires ou d'écouter la seule radio de la famille. Les jeunes de nos jours (bien sûr il y a des exceptions ) qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d'orthographe, mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres » ajoutait il en concluant « Mais c’est vrai qu’on ne connaissait pas le mouvement écologique ».

  • UNE TREVE DES CONFISEURS A VANVES CALME, GRISE, SOLIDAIRE

    La trêve des confiseurs à Vanves a été à l’image de cette semaine, douce, grise et pluvieuse au niveau climatique. Heureusement que les illuminations de Noël éclairaient les rues et places Vanves alors que la nuit tombait vite et tôt durant cette grisaille grâce parait-il à 86 motifs et 10 traversées lumineuses, ainsi que 750 mètres linéaires guirlandées (pour un coût parait il de 111 355 €). Les Bénédictines ont accueillies Mgr Rougié Evêque du diocèse des Hauts de Seine venu célébrer la messe de Noël le 25 décembre et le nonce apostolique une semaine plus tard pour la messe dominicale de la Saint Sylvestre, ouvrant le nouvel an avec une messe l’épiphanie ce dimanche 7 Janvier ( à 10H) avec les petits chanteurs du Val de Seine qui donneront un concert dans la foulée. Les derniers chiffres du recensement publiés en début d’année, indiquaient que Vanves compte 28 014 habitants, soit +0,1% (+0,3% pour le département), c’est à dire une trentaine de nouveaux habitants par an

    La fin de l’année, juste avant les fêtes, a été marqué par plusieurs événements : l’assemblée Générale de l’association omnisport Stade de Vanves le 19 Décembre à la veille d’une année olympique, dont les 16 sections se portent bien avec 4 949 licenciés dont 1079 en natation, 714 au tennis, 650 au foot avec des résultats intéressants. Mais sur le plan financier, c’est une autre affaire avec « un déficit cumulé de 218 500 € sur deux saisons alors que ses réserves financières ne sont plus que de 430 000 €.  Les 16 sections connaissent un résultat financier variable. Certaines, comme la danse ou le tennis, affichent un résultat positif qu'elles reversent au pot commun tandis que d'autres sont déficitaires (le handball présentant le plus grand déficit, avec 100 000 €) » notait un participant bloggeur à cette AG quelque peu confidentielle et tardive. La condamnation par la cour d’assises des mineurs le 21 Décembre, de huit jeunes à des peines allant jusqu’à huit années de prison pour leur implication dans la violente agression du jeune Yuriy, en 2021 sur la dalle de Beaugrenelle, dans un contexte de rivalité entre la bande du «plateau de Vanves», et celle surnommée « RD4 ». Un conseil départemental des Hauts de Seine  le 22 décembre au cours duquel  une subvention de 134 306 a été voté pour l’EHPAD Larmeroux

    Certains au sein de notre ville, se sont illustrés durant cette quinzaine de jours :  Paul Guillaud, président de l’UNC Vanves-Malakoff et très actif sur le plan associatif, a reçu la palme d’or du bénévolat pour 50 années de bénévolat associatif. L’hôtel Mercure s’est illustré pour avoir été un point de collecte pour des boîtes de Noël, destinées aux hommes sans domicile fixe, du 1er au 20 décembre. « Cette initiative, centrée sur le partage et la générosité, a permis de recueillir une trentaine de boîtes remplies de cadeaux soigneusement sélectionnés. Cette action s'inscrit dans l'esprit de Noël axé sur l'amour envers autrui » indiquait sa direction. Le Grenier à Pain dont la patron est Christophe Sonnet a obtenue  la 6e place au palmarès 2024 de la meilleure galette aux amandes d’Ile de France délivré par le Syndicat des boulangers du Grand Paris qui a livré son palmarès 2024 de la meilleure galette aux amandes d’Île-de-France.